J’en profite pour réaliser les trous d’accès pour les parties cachées.
Dès 1992, la voie automatique principale fonctionne, et cela me permet de faire tourner mes rames. Enfin !
Ensuite je me lance dans la construction de tous les rails qui seront à l’altitude 0 (zéro). Cela intègre :
* toute la voie automatique principale
* une partie de la voie GV, notamment la boucle de retournement sous la gare terminus et les aiguillages d’échange avec la voie principale.
Pour m'aider, j'ai redessiné le réseau avec PC-Rail, pour s'assurer des distances mais surtout pour faire une impression du plan au 1/1. C'est pratique pour poser les rails…
Quelques rails posées plus tard, sur une couche de liège aggloméré :
Dans un premier temps, j’ai recensé toutes les alimentations (fils) nécessaires, hors décor, et le lieu où il fallait les amener (cadre ou module).
Cela m’a défini une organisation de câblage, en tenant compte des contraintes de lien entre cadre et/ou module via des prises informatiques à mettre en place.
La synthèse de ce travail rend nécessaire la réalisation d'une planche pour situer tous mes blocs et mes relais d’automatisme.
Cette planche comporte les blocs en façade, les relais en dessous et les câblages au-dessus. Voici deux photos pour se rendre compte :
