Le réseau a été réalisé à l'économie :
* récupération d'un panneau en bois de 5 mm que je découpe.
* utilisation maximum des rails flexibles Peco. Compte tenu des utilisations en courbe, il est plus facile de fixer les rails avec des clous, en perforant les traverses, plutôt qu'avec de la colle.
* les commandes des aiguillages restent manuelles.
* les prises de courant sont faites avec des vieilles prises Arnold de la première génération, pour éviter de faire des soudures.
* La première voie été faite avec le code 80.
* la deuxième étape a été de faire le même travail en code 55 pour la deuxième voie parallèle. Le changement de code entre les deux aiguillages d'échange nécessite une opération de limage des rails pour éviter une petite "marche" pour changer de voie.
* le sciage des rampes se limite au strict minimum pour surélever les partie en bleu sur le plan. Le support en bois du pont est réalisé dans les chutes de bois centrales, avec des joints de renfort.
* pour rigidifier le réseau, j'ai fixé des tasseaux pour lui donner autonomie.
* le câblage est réduit au strict minimum. les deux voies sont alimentées de la même façon, sans le moindre zonage. J'ai découvert le principe de fonctionnement des aiguillages Peco qui assure bien l'alimentation au coeur, mais qui complique beaucoup le câblage sur des réseaux de type ovale si on veut éviter les courts-circuits dans tous les cas.
* une capacité de montage qui peut atteindre deux rails flexibles à l'heure (soit près de 1,80 m/h) si on a pris le coup de main pour gérer les traverses et les éclisses. Le coup de main n'est pas du tout le même en code 55 et 80. La voie en code 55 est moins souple.
* pas de décor...