La partie manuelle était constituée de deux parties distinctes, basse et haute.
La partie manuelle basse permettait la récupération des trains provenant de la voie automatique sur 3 voies avec découplement, dont 2 avec quais.
Chaque voie avait en sortie un signal, géré par une succession de relais. Le reste de la partie basse comprenait :
- un triage avec pente sur 4 voies (c’était pour cela que la gare n’était pas à l’altitude 0). II n’y avait qu’un seul rail de découplement, et cette pente permettait un triage par gravité.
- deux grandes voies de stockage pour des grands trains (1,1m environ) avec découplement.
- cinq endroits protégés électriquement pour garer des locomotives
- une grande voie en avant de la gare pour permettre les manœuvres.
- une voie vers la partie haute qui est la même que celle qui permet l’entrée de la partie automatique (une prise crocodile remet en place les deux aiguillages de l’entrée dès passage d’un train).
La partie manuelle haute permettait de positionner l’usine fonctionnelle ARNOLD (chargement et déchargement de petits grains pour des tombereaux spéciaux). En prime, pour le look, j’avais installé un grand viaduc pour aller vers une entrée de mine dans la montagne.
Plus de rails au m² tu meurs. Ci-joint deux vues du réseau :